Vic McKey au pays des garous
Ce matin, j'ai été chercher en urgence une petite minette blanche à l'aéropotrt d'Orly (au fret, plus exactement...) . Une chatoune adorable, blanche, âgée de 8 ans, expédiée manu militari par ses ex propriétaires qui n'en voulaient plus, et en guise de terreur annoncée, je me suis retrouvée avec un ange dans les bras... (06 61 45 46 85 pour adoption, parrainage, etc.)
Bref. Ca c'est le contexte.
Le trajet, je l'ai fait bien décidée à me faire un petit plaisir : un Club Van Helsing, Mastication de Jean-Luc Bizien, qui me faisait des clins d'oeil garouesques depuis que je l'avais acheté à Fab. A l'aller - métro+RER+attente+navette, je l'ai dévoré... C'est un roman jouissif, que manifestement l'auteur a pris énormément de plaisir à écrire et ça se sent! Son héros, Vuk, pour moi a la tête de Vic McKey de Shield, genre ours tueur - en plus mal léché - et son acolyte d'infortune, Maximus, a de singulières ressemblances - selon moi toujours - avec titus Pullo (Rome), en plus bestial et moins fini, quand même. En plus, l'histoire se passe à paris, dans les milieux goths et métalleux - entre autres, etr même si le ton est bourrin (mais c'est ça qui est bon), on passe loin des clichés du genre "les goths sont des fiottes" si commun aux garçons couillus (ou prétendument tels) qui se sentent en danger dès qu'ils en voient un (de goth) accrocher le regard de leur copine... Bref, j'en reviens à mon Vuk - enfin, pas trop le mien quand même - psychopathe, attachant, provoc' au dernier degré obligé de s'associer avec l'ennemi pour traquer une bande de garous du genre golden boy sans foi, ni loi, ni pas grand chose à part des thunes (Vuk le résume bien d'ailleurs, les vampires écoutent du goth, les garous du métal, mais eux, ces c..., n'écoutent rien du tout) dans un Paris by night croqué avec finalement beaucoup de tendresse. Un roman que je conseille vivement, à tous les amateurs de fantastique, de séries à la Shield et de jeux de rôles, également.
Bref. Ca c'est le contexte.
Le trajet, je l'ai fait bien décidée à me faire un petit plaisir : un Club Van Helsing, Mastication de Jean-Luc Bizien, qui me faisait des clins d'oeil garouesques depuis que je l'avais acheté à Fab. A l'aller - métro+RER+attente+navette, je l'ai dévoré... C'est un roman jouissif, que manifestement l'auteur a pris énormément de plaisir à écrire et ça se sent! Son héros, Vuk, pour moi a la tête de Vic McKey de Shield, genre ours tueur - en plus mal léché - et son acolyte d'infortune, Maximus, a de singulières ressemblances - selon moi toujours - avec titus Pullo (Rome), en plus bestial et moins fini, quand même. En plus, l'histoire se passe à paris, dans les milieux goths et métalleux - entre autres, etr même si le ton est bourrin (mais c'est ça qui est bon), on passe loin des clichés du genre "les goths sont des fiottes" si commun aux garçons couillus (ou prétendument tels) qui se sentent en danger dès qu'ils en voient un (de goth) accrocher le regard de leur copine... Bref, j'en reviens à mon Vuk - enfin, pas trop le mien quand même - psychopathe, attachant, provoc' au dernier degré obligé de s'associer avec l'ennemi pour traquer une bande de garous du genre golden boy sans foi, ni loi, ni pas grand chose à part des thunes (Vuk le résume bien d'ailleurs, les vampires écoutent du goth, les garous du métal, mais eux, ces c..., n'écoutent rien du tout) dans un Paris by night croqué avec finalement beaucoup de tendresse. Un roman que je conseille vivement, à tous les amateurs de fantastique, de séries à la Shield et de jeux de rôles, également.