Fin de semaine
Histoire de détendre l'atmosphère de ce blog, très politique ces dernier temps, isn't it ? Bon, je ne vais pas vous mentir, y en aura, un peu... Juste maintenant, pour signaler que le livre Ruptures, de Serge Portelli, qui est un bilan sur 5 ans de "sarkozysme" et a été censuré (étrange, non ?) se trouve en téléchargement dans ma rubrique liens, avec d'autres liens relatifs a la campagne présidentielle... Et puis aussi, pour manifester mon indignation quelque peu teintée de cynisme et de dérision face aux pressions empêchant le débat Royal-Bayrou (doit-je rappeler que Chancel et Sarko se connaissent ?)
Trève de politique... Quoi que ce n'est pas si facile - même à l'opéra, ils en font - je ne sais pas si c'est volontaire, cela étant, mais les couleurs dominantes du très mauvais Simon Boccanegra que nous avons vues hier étaient gris et orange... Bref, Simon, donc, opéra dont le seul souvenir que j'avais était un empoisonnement, était interminable, desservi par une mise en scène complètement incohérente - le genre :
"-Simon, pars te cacher, ils arrivent!
- D'accord, je fuis!
Et Simon de rester alors que l'autre s'en va... Et tout à l'avenant. Le tout avec des chanteurs assez bons mais à peu près aussi portés par leur rôle qu'une executive woman passant l'aspirateur après avoir bossé 10h... Et une cantatrice - incarnant Amelia - non plus mauvaise mais catastrophique, plus bêlante que chantante... Résultat, nous sommes partis à l'entracte et je n'ai pas vu Simon se faire empoisonner.
Trève de politique bis.
Dans le nouveau Glamour, il y a un article assez édifiant sur les "bals de la pureté" (il y a un lie avec Simon Boccanegra et la politique - Simon retrouve sa fille et leur duo est plus amoureux qu'autre chose, surtout dans la mise en scène pourrie que nous avons subie ; et les pbals de la pureté sont très prisés dans les milieux puritains des USA). C'est quoi, un bal de la pureté ? Et bien c'est un événement durant lequel, autour d'une croix et sous deux épées, une jeune fille jure solennellement à son papa de rester virege (et pure) jusqu'à son mariage.
http://www.generationsoflight.com/generationsoflight/html/PurityBall.html
Ca fait peur, c'est baptiste et ça existe...
Et pour finir, parce que je n'en ai pas mis hier, une petite doll...
Trève de politique... Quoi que ce n'est pas si facile - même à l'opéra, ils en font - je ne sais pas si c'est volontaire, cela étant, mais les couleurs dominantes du très mauvais Simon Boccanegra que nous avons vues hier étaient gris et orange... Bref, Simon, donc, opéra dont le seul souvenir que j'avais était un empoisonnement, était interminable, desservi par une mise en scène complètement incohérente - le genre :
"-Simon, pars te cacher, ils arrivent!
- D'accord, je fuis!
Et Simon de rester alors que l'autre s'en va... Et tout à l'avenant. Le tout avec des chanteurs assez bons mais à peu près aussi portés par leur rôle qu'une executive woman passant l'aspirateur après avoir bossé 10h... Et une cantatrice - incarnant Amelia - non plus mauvaise mais catastrophique, plus bêlante que chantante... Résultat, nous sommes partis à l'entracte et je n'ai pas vu Simon se faire empoisonner.
Trève de politique bis.
Dans le nouveau Glamour, il y a un article assez édifiant sur les "bals de la pureté" (il y a un lie avec Simon Boccanegra et la politique - Simon retrouve sa fille et leur duo est plus amoureux qu'autre chose, surtout dans la mise en scène pourrie que nous avons subie ; et les pbals de la pureté sont très prisés dans les milieux puritains des USA). C'est quoi, un bal de la pureté ? Et bien c'est un événement durant lequel, autour d'une croix et sous deux épées, une jeune fille jure solennellement à son papa de rester virege (et pure) jusqu'à son mariage.
http://www.generationsoflight.com/generationsoflight/html/PurityBall.html
Ca fait peur, c'est baptiste et ça existe...
Et pour finir, parce que je n'en ai pas mis hier, une petite doll...
Pas très baptiste, n'est-ce pas ?