Potter, Confusion, Collision et Travail
Je commence par le plus "chaud" : cela fait un an que je connais l'histoire de HP7, mais à cause de l'attitude grotesque de certaines personnes "scoop", "pas scoop", etc. (façon La gazette du sorcier ou Closer pour être plus réaliste), je n'avais aucune envie de le lire. Et puis je suis tombée dessus ce week-end chez mes beaux-parents. J'ai donc rattrappé en deux jours mon retard. Honnêtement, ce n'est pas le meilleur et je pense que la trad (qui a dû se faire avec des délais de fous) y est pour beaucoup. Le côté positif, c'est qu'il y a une dimension critique réelle de notre société à travers HP7 : les Mangemorts et leur emprise sur les média et les gens pouvant certes apparaître comme une parabole des dicatures et surtout du nazisme, mais également comme une critique finalement assez acerbe de notre société... Autre côté" positif : on évite le "retour à la maison qui n'en finit pas" - ce qui n'est pas mal. Mais je trouve qu'il y a beaucoup de longuer, les scènes "choc" annoncées n'en sont pas et trop de passages notamment la fin sont capillotractés et bordéliques (a-t-elle un directeur de collection qui la recadre quand elle dérape ? I don't think so)... Bref, Snape est mort et j'ai toujours un petit sentiment de gâchis en terminant le livre.
Le plus froid maintenant : en une journée j'ai réussi à casser un verre, inonder le plan de travail (en bois) de la cuisine avec de la pseudo-soupe aux petits pois maison - non, je ne suis pas douée, faire un café sans café... Et avoir une bonne grosse série de vertiges pour cause de fatigue occulaire (ça m'était arrivée au Maroc, mais j'avais mis ça sur le compte de 45 degrés à l'ombre) - voilà... Bon, et puis dans ce chaos, les dernières copies à corriger et surtout les textes de mes élèves en atelier d'écriture, puisque cette semaine, on expose... Ben oui, on expose leurs textes. Et je n'en peux plus de corriger, j'ai l'impression de ne plus rien voir. Mais le résultat est assez positif pour que je retente l'expérience l'an prochain.
En plus - autres corrections, je termine Arachnae pour You Don't Know Who en attendant de me replonger dans La marque de la nuit, revoir certains trucs avec les idées du week-end - une histoire de bonshommes en papier et de ténèbres qui doivent l'être encore plus - je me comprends - (et écrire la suite).
Qui a dit vacances ?
Le plus froid maintenant : en une journée j'ai réussi à casser un verre, inonder le plan de travail (en bois) de la cuisine avec de la pseudo-soupe aux petits pois maison - non, je ne suis pas douée, faire un café sans café... Et avoir une bonne grosse série de vertiges pour cause de fatigue occulaire (ça m'était arrivée au Maroc, mais j'avais mis ça sur le compte de 45 degrés à l'ombre) - voilà... Bon, et puis dans ce chaos, les dernières copies à corriger et surtout les textes de mes élèves en atelier d'écriture, puisque cette semaine, on expose... Ben oui, on expose leurs textes. Et je n'en peux plus de corriger, j'ai l'impression de ne plus rien voir. Mais le résultat est assez positif pour que je retente l'expérience l'an prochain.
En plus - autres corrections, je termine Arachnae pour You Don't Know Who en attendant de me replonger dans La marque de la nuit, revoir certains trucs avec les idées du week-end - une histoire de bonshommes en papier et de ténèbres qui doivent l'être encore plus - je me comprends - (et écrire la suite).
Qui a dit vacances ?